Portraits des Géants

Association Les cinq sens de la nature

Face aux dommages environnementaux que nous causons, nous avons besoin de prendre des mesures pour parvenir au changement. Pour arriver à l’action nous devrons suivre un processus de conscientisation.

Passer de la « conscience naïve » à la « conscience critique ». Et pour cela nous nous appuyions sur la pédagogie qui articule conscientisation et émancipation.

Ce projet ne vise pas à arriver à la conscientisation par le moyen des images de choc ou des nouvelles catastrophiques. Une tentative des gens et d’associations peut déjà fournir des modèles positifs et stimuler l’envie de faire partie du mouvement de ceux qui protègent déjà la nature, qui s’engagent à faire de Genève une ville équitable, durable et prospère.

Nous croyons dans la stimulation positive. « On est plus motivé à donner le meilleur de soi-même quand on trouve de la reconnaissance. C’est dans le dialogue et la compréhension que nous pouvons trouver des solutions. »

Vu que nous n’avons pas tous le même profil d’intérêt et nous ne sommes pas motivés par les mêmes buts, nous avons besoin de travailler en équipe, de rassembler nos compétences pour optimiser nos capacités de communication et de sensibilisation.

Quand on est informé sur quelque chose, on la valorise. Et donner de la valeur est la première étape pour l’aimer. Et quand on aime, on protège.

Nous visons à attirer l’attention par l’émotion artistique pour transmettre le contenu scientifique. Pour cette raison, ce projet marie les Arts (peinture, performance, théâtre, cinéma, expression corporelle, design, street art, projections, etc.) et les Sciences (biologie, ingénierie forestière, archéologie, géomatique, science de l’environnement, etc.). Il agit aussi à différents niveaux : de manière ludique, sensorielle, politique et scientifique.

 

María Angelelli suissesse et argentine a réalisé ses études dans son lointain pays natal. Diplômée ingénieure agronome, avec un post-grade en architecture du paysage. Une fois installée à Genève, elle a suivi un C.A.S. en nature en ville.

Au long de son parcours professionnel, elle a transformé son envie initiale d’exploiter la terre en la volonté de la soigner et de la protéger, car celle-ci s’avère guérisseuse.

Aujourd’hui elle est aussi co-fondatrice de l’association hortvs qui met en place des jardins thérapeutiques, pédagogiques, sociaux et écologiques. En parallèle, elle continue son travail d’architecte paysagiste dans des jardins privés.

 

Ingrid Kaufmann est biculturelle, suisse et argentine, polyglotte et diplômée de l’École des Beaux-Arts. Elle a participé au cycle de formation pour Curatrice d’art à l’Académie du Sud ; Ainsi qu’à la Gestion budgétaire des Musées par la Fondation Antorchas et le Fond National des Arts à Buenos Aires, Argentine. Ingrid vit et travaille à Genève depuis 2002. Elle a 7 ans d’expériences locales et internationales dans l’organisation d’expositions dans des centres culturels, des galeries et des foires d’art. Elle a mis sur pied l’exposition de Camille Pissarro au Centre Cultural Borges à Buenos Aires.

Sans prétendre être un modèle à suivre pour réduire son empreinte carbone, Ingrid Kaufmann nous invite à faire un processus de conscientisation ensemble, en organisant de projets qui s’appuyant sur l’art, la science et l’éducation.

 

 

Patricia Antonini, de nationalité suisse-argentine, issue d’une famille du Tessin, est née à Buenos Aires où elle a grandi. Elle a réintégré la Suisse en 2002 avec son diplôme en Relations Publiques obtenue à l’Université Argentine de l’Entreprise (UADE) et s’est formée aussi dans le domaine du Marketing à l’Université de Belgrano (UB), les deux universités situées à Buenos Aires. Comme complément de ses études universitaires elle a obtenu une spécialisation en Cérémonial et Protocole.

Elle a développé sa carrière professionnelle dans l’événementiel à l’international. Elle a planifié, organisé, coordonné et supervisé plus de 400 événements entrepreneuriaux, sociaux et culturels dans plusieurs pays durant plus de vingt-cinq ans.

En amont de la coordination de « Portraits de Géants – Arbres de Genève », elle accomplit actuellement son deuxième mandat en tant que co-directrice des événements et membre du conseil d’administration de l’American International Women’s Club à Genève.

Elle est polyglotte, dynamique, aime les défis ainsi que trouver des solutions pragmatiques.

Elle s’investit et est active dans plusieurs ONGs.

Patricia a beaucoup voyagé et prend plaisir d’étudier et s’ouvrir à des différentes cultures pour bénéficier d’un échange interculturel.

 

D’origine gréco-suisse, Vanna Karamaounas est née à Genève. Elle étudie l’histoire de l’art et les sciences politiques à l’Université de Genève. Sa passion pour la photographie, révélée dès l’adolescence, la conduit à effectuer plusieurs voyages d’études à l’étranger : elle séjourne notamment à Athènes, Rome, Moscou, New York et Singapour.  A son retour à Genève, elle décide de se consacrer pleinement à cet art.

De 1999 à 2017, elle expose sous le nom d’artiste Iseult Labote. En 2018, elle présente ses œuvres avec son nom de naissance. Son œuvre intègre de nombreuses collections dont le FCAC, Fonds d’Art Contemporain de Genève, la Cité Universitaire de Genève, le MAMCO (Musée d’Art Moderne et Contemporain), le Musée d’art contemporain de Thessalonique SMCA, Alpha Bank Art Collection Grèce, The National Bank of Greece, la Banque Darier, etc.

Elle travaille pendant plusieurs années à la Galerie Kara, fondée par son père Aris Karamaounas, la galerie participe à seize éditions de ArtBasel. En 1991, Vanna Karamaounas crée la publication L’Art A Genève qu’elle dirige depuis 30 ans en répertoriant les expositions à Genève et en publiant du contenu par des historiens d’art et des journalistes professionnels.